Message pour Val-Comportement après réception de l'assignati

Bonjour Val,
Hier soir j'ai pris le temps de lire ton histoire sur le net. Certainement parce que je m'y reconnais sur de nombreux points.
J'aurais une question à te poser. Est ce que depuis l'assignation, vous avez maintenu le droit de viste de la moche ? ou cessé tout contact entre la moche et ta fille ?
A bientôt et bon courage à tous.
Il a des jours où c'est dur, dur quand même

Les visites ont ete reduites des que ma mere s'est permise d'insulter mon epouse, cette derniere ne souhaitant plus avoir de contacts avec une personne qui la considere si peu. A aucun moment, Val (mon epouse, moi c'est Stephane) ne m'a interdit de voir ma mere. XC'est moi qui est decide de reduire les visites.
La seule fois ou ma mere m'a demande a voir la petite seule apres ca, visite que j'ai acceptée, ca a ete pour me mentir sur l'endroit ou elle l'emmenait (11 mars). J'ai dit non. Et la petite n'est pas partie avec sa grand mere.
Le 4 mai, nous etions assignés. Et deja a ce moment la, il n'y avait plus de visites. Mais bon, ca nous a laissé qu'un mois et demi. Donc a cette date, je ne confiais plus notre fille a ma mere car je n'ai aucune confiance en elle.
Et tu comprendras qu'en recevant une assignation alors que je l'attendais pour qu'on en discute, je ne me suis pas precipité pour lui amener son "jouet".
C'est marrant, j'en parlais avec Val ce midi a table. Les menaces d'assignation n'ayant pas fait plier Val (moi, elle ne m'a jamais menacé, je penses qu'elle se doutait de ce qu'aurait ete ma reaction), elle s'imaginait sans aucun doute qu'en passant a l'acte, nous allions arriver en rampant. Et ensuite a chaque refus de notre part, ca aurait ete le meme refrain "J'ai des droits, vous allez voir".
On est de plus en plus persuadés que cette histoire de visite le 11 mars n'est que l'aboutissement de toute une strategie de sa part et que de toutes facons, cette procedure etait preparée et nous aurions ete assignés un jour ou l'autre.
Donc depuis, pas de contacts a part a deux reprises (un ou j'ai simplement repondu que desormais, si elle voulait me parler, elle etait priée de passer par mon avocat, et une autre ou ele est venu me demander d'appliquer le jugement et ou l'acceuil etait a la hauteur de son rang).

En ce qui concerne ma reaction en recevant l'assignation, melange de degout, de peur (on savait pas ou on mettait les pieds et a ce sujet merci a tous ici pour votre soutien dans les premiers jours), de colere...

Voila, j'espere t'avoir plus ou moins renseigné.

Je te remercie de m'avoir répondue. Celà m'éclaire beaucoup.
Nos moches voyaient nos enfants une fois par mois. Nous avions établi un calendrier de visites, respectant la fréquence qui existait au préalabale (une fois par mois) après un gros conflit en janvier 2006.
Nous avons quand même reçu une assignation en juin dernier. On se demande comment c'est possible puisque le droit est exercé.
Notre première réaction a été de vouloir empêcher ces visites et sous conseil de notre avocat, nous avons maintenu ce qui était mis en place. Nous ne nous faisons pas d'illusion sur la suite donnée à leur demande.
A mon avis, le JAF va leur donner plein pot. Nous sommes OK pour un droit de visite mais pas de droit d'hébergement.
A bientôt
Fraise

Pour preciser un peu sur la frequence des visites avant que ma mere se permette de mettre Val plus bas que terre:
* Nous habitons deux maisons attenantes avec des jardins communiquants (plus maintenant, pour les jardins, et j'espere plus pour longtemps pour la proximité) donc nous voyons quasiment tous les jours ou presque.
* En dehors de periodes ou les parents de Val etaient dans la region, c'etait ma mere qui gardait notre fille et qui la emmené a l'ecole entre juin et octobre 2005 lorsque mes horaires de travail m'ont empechés de le faire.

Ma mere avait (comme de plus en plus de gp qui assignent) beaucoup plus que ce qu'ont bien des gp aimants, mais contrairement a ces derniers, les gp assigneurs estiment avoir des droits et comme ces droits ne sont pas definis et au vu des jugements iniques que rendent certains juges, eh bien, ils n'en ont jamais assez.