Bonjour à tous
Déjà passé sur le forum il y a un an, un an et demi, je relis les témoignages et vous donne des nouvelles au passage.
RESUME : Je suis séparé depuis 2003, je n'ai pas l'hebergement habituel de mon enfant (6 ans à la fin de la semaine) mais autorité parentale conjointe. Séparation difficile (violence en intimité donc non reconnue, perte de mon enfant, non représentation d'enfant, dossier en surrendettement car perte aussi en appel )
bref moral à zero aussi. Désignation d'une éducatrice pour mon enfant, au final, au bout de 2 ans les prémices d'un équilibre se font ressentir, je dis les prémices car mon fils est vraiment très fragile.
LA MERE :Pour rajouter à cela ma mère pour ne pas se faire oublier réclame des droits écrits sur papier.
En juillet 2003, j'ai rencontré depuis peu un nouvel homme, elle veut le voir, je refuse. Plus de nouvelles, silence, je laisse des messages qui restent sans suite. J'ai l'habitude je laisse courir (ce n'est pas le premier abandon). Mais fin 2004 si mes souvenirs sont justes assignation des deux parents. Je contacte un avocat, peu d'espoir( car je suis seule à tenter une défense et pas d'hébergement habituel de mon fils à mon domicile) mon ex affirme que c'est un problème entre elle et moi. Donc pas d'avocat, pas de défense, il croit fortement qu'il va être entendu en audience ( comme pour une séparation).
Moi je fais un choix : refus de l'aide juridictionnelle car le dossier de surrendettement n'ai pas pris en compte, donc pas les moyens (trop risqué )
Je garde l'argent pour que mon fils en profite.
AUJOURD'HUI : Droit de visite et d'hebergement un we par mois et quinze jours en juillet.
Et là tout le monde se réveille !! C'est impensable de concevoir que mon fils ait des relations avec cette femme qui ne l'a jamais eu seule plus de quelques heures et à notre domicile.
L'éduc doute du bien fondé de la demande. Et pour cause mis bout à bout elle a simplement posé les pierres des preuves qui lui fallait pour lancer la procédure. Couper les liens avec moi en premier lieu puis prouver que le père lui refuse. Et là j'ai appris qu'elle avait appelé les vrais grands parents de mon fils (dans la même période,) et suite à cela le père résiste et reste de marbre.Suite à l'assignation l'éduc avait tenté une conversation pour parler de l'enfant , un appel, un second avec message et coordonnées : toujours silence. Si c'est pas de la mauvaise foi ? Si cela ne prouve pas le désintérêt ?
Comme dirait l'educ : trop forte
Elle nous soutient et affirme que mon fils est trop fragile et que le travail accompli risque fort d'être détruit. Elle a un mandat juridique et doit avoir l'aval de son chef pour agir. Sa fonction se doit de respecter les procèdures.
Ma mère empiète sur mon propre droit de visite s'effectuant dès que j'ai deux jours de repos consécutifs, je suis dans la fonction publique hospitalière, ce qui explique cette "indulgence".
Bon voilà où je veux en venir : nous pouvons faire appel mais nous ne pourrons en supporter le coût( surtout moi).
Nous parents sommes d'accord sur ce point pas de relation possible, danger pour notre enfant.
A ce jour je suis la seule à avoir reçu le jugement. Mon ex a changé d'adresse, il n'est donc pas sensé être au courant. Il n'a rien reçu, l'huissier n'est pas passé au nouveau domicile. C'est chez lui qu'elle doit aller. Cette sorcière ne nous a pas contacté, par aucun moyen.
Que peut elle mijoter de pire ? A part désobéir que nous reste t'il ? Sans avocat que pouvons nous tenter ?Je suis fatigué de cette justice au rabais, ou plutôt à but commercial : qui paie cher gagne plus !
Tous conseils seront les bienvenus, nous sommes prêt à désobéir et à payer pour cela. Je vois que vous parler beaucoup moins de désobéissance et des conséquences (ou de manière succinte)
Espions obligent ????
A force de grandir notre voix ce fera peut être entendre ? Espèrons pas trop tard pour nos enfants...
Merci à ceux qui auront la patience de me lire et de me répondre.
Courage à tous !